Éditorial : Ariel dans l’eau du bain.

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Éditorial : Ariel dans l’eau du bain.

Le Courage; le premier élément, pour ne pas dire l’élément essentiel dans une salle d’opération lors d’une intervention.
La vie du patient en dépendait, car il fallait du Courage pour tenter l’impossible là  où tout espoir était réduit à néant.
Derrière les portes fermées, le médecin et son équipe se concentraient sur le travail à accomplir pour donner du résultat; cela prendra le temps qu’il faudra.

Les Professions aiguisaient les sens et les comportements; l’éthique, la déontologie, la philosophie constitueront des leviers qui aideront l’individu à mieux s’acquitter de sa tâche. Contrairement à la propagande des psychopathes, la politique est une science, elle a des règles, des principes à respecter. Cela exigeait de l’intelligence, de la formation académique, de l’abnégation, du patriotisme et surtout de la Mortalité.Des vertus oubliées, abolies dans le vocabulaire politique Haïtien.

Les professionnels du chaos sont sur pied de guerre; ils entonnent les mêmes refrains en vue de diaboliser les Citoyens qui avaient mis leurs compétences au service de la Nation.

Ariel Henry  s’était livré pour aider son Pays à un moment où la folie s’était emparée de l’ensemble des Citoyens.
Seul un Homme compétent, courageux pouvait accepter de traiter un cas aussi critique que celui de cette société malade.

Dans une salle d’opération, le médecin pouvait opérer des miracles si tous les équipements dont ils avaient besoin étaient disponibles, si aussi l’environnement de travail était serein et calme. Les indicateurs étaient au rouge sur l’ordinateur à cause des interférences, à cause de la perfidie des fossoyeurs tapis dans l’ombre en attente des mauvaises nouvelles, puisqu’ils ne vivaient que de morts. Ils méprisaient la vie, cela ne leur rapportait rien.

Ce vacarme de tous les jours, alimenté par les dénonciations, les assassinats, les trafics illicites, les coups bas, servait de stratégie en vue de déconcentrer le médecin et son équipe.

Le Courage du premier ministre Ariel Henry n’avait d’égal que son abnégation, son calme au milieu de la tempête.

Mais on pouvait posséder toutes les qualités, animer de toutes les bonnes intentions et échouer dans sa mission si les ennemis tentaient toutes les astuces et pièges pour déstabiliser. Et dans cet état d’esprit il ne fallait pas s’étonner si pour parvenir à leurs Fins, les Ennemis de la Nation jetaient Ariel Henry dans l’eau du bain.

Ce ne serait pas la première fois…