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Plusieurs chemins mènent à Rome…
Certes, cependant cela dépend du degré de conscience de l’individu. La route du succès exige discipline, culture et surtout “mounite”, sinon on oubliera qu’on est humain, au lieu de se servir de ses jambes, on rampera, au lieu de se servir de ses cordes vocales pour s’exprimer et se faire comprendre on aboiera, au lieu de penser intelligemment ,on gesticulera.
C’est encore pire quand il s’agit des jeunes, qui au lieu de se former pour assurer la relève, se transforment en voleurs, en bandits pour arriver à leurs fins.
C’est le cas d’un dénommé Onelès Francique, membre du parti EDE qui aujourd’hui tente de construire un capital politique en lapidant des fonctionnaires de carrière qui ont servi et servent leur pays avec loyauté.
Ce jeune rapace qui prend goût dans la mamelle de la corruption représente d’ores et déjà cette génération perdue, cette classe de voyous qui apprennent comment escalader les murs, comment tricher, comment donner des coups bas pour quelques miettes au lieu de constituer la réserve dont le pays a tant besoin.
Quelle honte, déjà à cet âge Onelès Francique apprend à faire la courbette, à baisser son pantalon, à lécher, à ramper au lieu de se tenir debout.
Peut-être qu’il suit tout simplement la philosophie de son parti EDE, qui prône la corruption, le clientélisme, la violence via les gangs armés.
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